Né en 1920 à Porrentruy d’un père français (Alsacien), enseignant au collège Saint-Charles, et d’une mère jurassienne. Décède de la maladie d'Alzheimer le 23 décembre 1997 à la maison de retraite de Bavilliers (Territoire de Belfort, F), inhumé à Porrentruy. Frère du chanoine Joseph Vogel (1922-23.11.1989), chanoine de Saint-Maurice, directeur du collège Saint-Charles de Porrentruy. Mariée, deux enfants. Poète.
Il obtient son baccalauréat à St-Maurice puis entreprend des études de lettres aux universités de Strasbourg, Lyon, Fribourg et Paris. Dans les années 1940-41, ayant opté pour la nationalité française, il gagne la France Libre et tente de rallier les partisans. Après diverses aventures en France, il revient en Suisse où il se consacre désormais à la poésie. Secrétaire des Editions des Portes de France qui s’installent à Paris sous la direction de Jean Cuttat (1945). Traducteur et rédacteur au Service de presse de l’Ambassade des Etats-Unis à Paris (1948-1954). Depuis, journaliste d’information religieuse internationale (chroniqueur régulier des Informations catholiques internatioanles). V. pend sa retraite en 1982 et s'installe avec sa femme et ses 2 enfants à Bressaucourt.
Il a collaboré à quelques revues suisses et françaises et a publié un recueil de poésie, Flûte à tue-tête (Porrentruy, Editions des Portes de France, 1945) pour lequel il reçoit le Prix de littérature française des Jeux olympiques universitaires de Lausanne (1944). Auteur également des Sanctuaires de tous les temps (Lausanne, Editions Mondo, 1967, trad. en all. et it.).
Il obtient son baccalauréat à St-Maurice puis entreprend des études de lettres aux universités de Strasbourg, Lyon, Fribourg et Paris. Dans les années 1940-41, ayant opté pour la nationalité française, il gagne la France Libre et tente de rallier les partisans. Après diverses aventures en France, il revient en Suisse où il se consacre désormais à la poésie. Secrétaire des Editions des Portes de France qui s’installent à Paris sous la direction de Jean Cuttat (1945). Traducteur et rédacteur au Service de presse de l’Ambassade des Etats-Unis à Paris (1948-1954). Depuis, journaliste d’information religieuse internationale (chroniqueur régulier des Informations catholiques internatioanles). V. pend sa retraite en 1982 et s'installe avec sa femme et ses 2 enfants à Bressaucourt.
Il a collaboré à quelques revues suisses et françaises et a publié un recueil de poésie, Flûte à tue-tête (Porrentruy, Editions des Portes de France, 1945) pour lequel il reçoit le Prix de littérature française des Jeux olympiques universitaires de Lausanne (1944). Auteur également des Sanctuaires de tous les temps (Lausanne, Editions Mondo, 1967, trad. en all. et it.).
Auteur·trice du texte original: Emma Chatelain, 07/12/2005
Dernière modification: 05/10/2012
Bibliographie
Alexandre Voisard, « Jean Vogel », in Pierre-Olivier Walzer (dir.), Anthologie jurassienne, vol. 2, Porrentruy : SJE, 1965, pp. 144-146
Le Pays, 26 mai 1982
Le Quotidien Jurassien, 8 janvier 1998
Le Pays, 26 mai 1982
Le Quotidien Jurassien, 8 janvier 1998
Suggestion de citation
Emma Chatelain, «Vogel, Jean (1920-1997)», Dictionnaire du Jura (DIJU), https://www.diju.ch/f/notices/detail/3229-vogel-jean-1920-1997, consulté le 03/11/2024.