Classes à Tramelan. Apprentissage complet d’horloger, ensuite de quoi il travaille quelque temps dans une manufacture de la localité avant d’ouvrir son atelier d’horlogerie en 1914. Il se mue alors en fabricant d’horlogerie et fait du terminage de montres. Son entreprise deviendra la Fabrique d’horlogerie Nicolet Watch, transformée en société anonyme Nicolet Watch SA en 1945.
Par ailleurs, N. possédait une exploitation rurale près de Bellelay, la ferme de la Combe des Peux (commune de Sornetan), achetée grâce à la bonne marche de sa fabrique et dans laquelle il se consacrait notamment à l'élevage de bétail.
Auteur·trice du texte original: CEJARE/Philippe Hebeisen, 04/06/2014
Dernière modification: 16/06/2014
Bibliographie
Alfred Chapuis (directeur.), L'horlogerie, une tradition helvétique, Neuchâtel : Les Ed. de la Bourgade, 1948, pp. 3-6 [section publicitaire en fin d’ouvrage]
Alain Droz, Tramelan : la "chronique locale", vol. 13 : 1944 à 1947, Tramelan : commune de Tramelan, 2011, p. 62
L’Impartial, 6 novembre 1945 ; 24 janvier 1957
Courrier de la Vallée de Tavannes, 6 novembre 1945
Feuille officielle suisse du commerce (FOSC), n° 71, 26 mars 1919, p. 499
Alain Droz, Tramelan : la "chronique locale", vol. 13 : 1944 à 1947, Tramelan : commune de Tramelan, 2011, p. 62
L’Impartial, 6 novembre 1945 ; 24 janvier 1957
Courrier de la Vallée de Tavannes, 6 novembre 1945
Feuille officielle suisse du commerce (FOSC), n° 71, 26 mars 1919, p. 499
Iconographie
Journal suisse d'horlogerie et de bijouterie, n° 7-8, juillet-août 1949, p. 270
Suggestion de citation
CEJARE/Philippe Hebeisen, «Nicolet, Charles (1890-1945)», Dictionnaire du Jura (DIJU), https://www.diju.ch/f/notices/detail/1003402-nicolet-charles-1890-1945, consulté le 19/04/2024.
